À PROPOS
La Ferme Vue d’en Haut, c’est d’abord le projet agricole de Sophie, Gabriel et Charles, trois jeunes turbulents ayant pris racine dans Les Hauteurs, au Bas-Saint-Laurent. Les trois ami.e.s se sont rencontré.e.s il y a quelques années entre associations étudiantes, quarts de travail et soirées dansantes. Le trio a rapidement réalisé qu’il rêvait secrètement la nuit de fruits et légumes, de marchés fermiers et de recettes saisonnières.
La Ferme Vue d’en Haut, c’est ensuite deux hectares de terres cultivées afin de produire des fruits et légumes biologiques, frais, locaux et savoureux afin d’alimenter les communautés mitissoises et rimouskoises, ainsi que les locavores des environs.
La Ferme Vue d’en Haut, c’est finalement une ferme panoramique offrant des paysages à perte de vue. Nous avons en effet choisi de nous établir au sommet de Les Hauteurs, un lieu emblématique des environs aussi connu sous le nom de la côte à Bonito !
Une agriculture locale et durable

La Ferme Vue d’en Haut a pour mission de cultiver des fruits et légumes pour alimenter sa communauté, ainsi que de pratiquer et de faire la promotion d’une agriculture biologique, respectueuse de l’environnement, locale et à petite échelle.
Nous priorisons la mise en marché de proximité afin de favoriser un rapprochement entre les producteur.rice.s et les consommateur.rice.s. La vente en circuits courts permet de limiter le nombre d’intermédiaire et donc d’atteindre une meilleure connaissance de la provenance des aliments et des modes de production.
Nous sommes certifiés biologiques avec Écocert Canada puisque nous croyons fermement dans la nécessité de soutenir de manière durable la santé des sols et des écosystèmes. L’agriculture biologique s’appuie sur des processus écologiques, ainsi que sur la biodiversité et des cycles adaptés aux conditions locales plutôt que sur l’utilisation d’intrants de synthèse. Elle est soumise à des normes et règles rigoureuses (ex. : interdiction d’employer des organismes génétiquement modifiés, interdiction d’utiliser des engrais et des substances phytosanitaires synthétiques pour les cultures, amélioration des sols favorisée par la rotation des cultures et l’utilisation de fertilisants naturels comme le compost ou les engrais verts, etc.).
L'équipe

Sophie Rioux
Sophie est l’autodidacte de la ferme. Elle jongle avec la commercialisation, les communications et la conception de site web, mais aussi avec la gestion de chantier, les outils et les plans d’ingénieurs comme nulle autre. Elle est le dynamisme infatigable, la motivation débordante et le sourire enjoué de l’équipe, sourire que vous aurez certainement l’occasion de rencontrer !
Sophie a étudié en animation et recherche culturelle à l’Université du Québec à Montréal, puis en loisir, culture et tourisme à l’Université du Québec à Trois-Rivières où elle termine une maitrise portant sur l’agrotourisme. Elle a notamment travaillé à titre d’assistante de recherche au Centre d’Innovation Sociale en Agriculture (CISA) de Victoriaville, ainsi qu’à titre d’adjointe à la direction à l’Association des marchés publics du Québec (AMPQ).
Gabriel Clermont
Gabriel est le maitre d’œuvre derrière la gestion des cultures et les opérations de la Ferme Vue d’en Haut. Il est notre passionné d’engrais verts et de rotation des cultures. Il manie la grelinette et le tracteur comme le cuisinier manie la poêle et les fourneaux. Il est également notre diplomate en chef, celui qui tempère nos ardeurs et qui délie les impasses les plus bruyantes. Bref, il est le grand sage de l’équipe.
Gabriel a étudié en gestion et techniques d’entreprises agricoles en production maraichère biologique au Cégep de Victoriaville, ainsi qu’en science politique à l’Université de Montréal. Il a vécu plusieurs saisons maraichères, notamment à la coopérative Ferme Terre Partagée au Nouveau-Brunswick, à la Ferme école du Cégep de Victoriaville, ainsi qu’à la Ferme Les potagers des nues mains en Estrie.


Charles Besner
Charles est le minutieux de la Ferme Vue d’en Haut. Il aime les petits détails bien faits, notamment les planches bien droites et les phrases bien construites. On se plait à souligner qu’il entretient une relation très étroite avec les documents Word et les tableurs Excel. Outre les rangs de betteraves et de carottes, il se plait donc dans les budgets, les plans de ferme et les registres. Il est notre membre méticuleux, mais qui n’hésites pas à rire de soi-même.
Charles a étudié en gestion et techniques d’entreprises agricoles en production maraichère biologique au Cégep de Victoriaville ainsi qu’en techniques de bioécologie au Cégep de Sherbrooke. Il a eu l’occasion de travailler à la Ferme du Coq à l’âne de Bury en Estrie, ainsi qu’en tant qu’agent de développement agricole à la MRC de la Vallée-de-la-Gatineau en Outaouais.
Les Calembours
Nous souhaitons par ailleurs mettre en lumière nos ami.e.s de la Ferme Les Calembours, soit Alysse Grenier-Denis et Kalil Mnasri. C’est sur leurs terres que notre projet prend racine et avec ces hôtes que nous avons le plaisir et l’honneur de collaborer sur différents projets. Ce duo est reconnu pour ses jeux de mots rocambolesques et son humour extravagant. Ce sont l’une des motivations de notre établissement dans la Bas-Saint-Laurent et l’une des conditions qui nous permet de nous lancer dans ce projet avec autant d’enthousiasme !
Alysse et Kalil sont actuellement en processus de démarrage de leur ferme fruitière diversifiée et implantent un verger de cassis, de framboises, de pommes et de sureaux en régie biologique. Nous collaborons ensemble dans la production de fraises afin d’alimenter nos marchés respectifs.

Médias
- Février 2022 | Journal Le Soir | Lancement des abonnements à la Ferme Vue d’en Haut
- Janvier 2022 | Journal L'Avantage | Objectif atteint pour le projet de financement d’une grange ancestrale dans La Mitis
- Janvier 2022 | La Terre de chez nous | Un projet de quartier général conjoint pour deux fermes émergentes
- Décembre 2021 | Journal L'Avantage | Deux fermes s’associent pour restaurer une grange ancestrale à Les Hauteurs
- Novembre 2021 | Journal Le Soir | Une grange ancestrale pour cultiver l’avenir